3 Finances Constat

   Gestion de l'argent public 

Notre expertise : une situation financière douloureuse
2004-2014 : 10 ans de dérive budgétaire
Un héritage lourd de handicaps

Ê Une masse salariale au plus haut : elle représente 80% des charges de fonctionnement de la commune : 200 salariés quand la moyenne pour une commune équivalente se situe à 160,
Ê Une dette qui immobilise : que dire de la dette de la commune ? Elle atteint 100% !!! Quand avec 90% de déficit, on considère la France en situation de quasi faillite…
Ê Des réalisations à perte, aux coûts non maîtrisés (bassin de rétention, école des Pinèdes, aménagements)
Ê De projets lancés hâtivement ces derniers mois, sans maîtrise budgétaire, qui viennent encore alourdir une facture déjà trop salée : projet ‘cave coopérative’, pseudo ‘maison de retraite, salle des sports de Sibourg… 


Des finances communales sous perfusion, avec des artifices de gestion de l’équipe en place pour masquer une situation critique.
Ê Depuis 2010 les finances sont dans le rouge… L’année 2011 a été exceptionnellement positive grâce à la vente des villas de la gendarmerie: on vend les bijoux de famille pour financer un train de vie excessif.

Ê L’équilibre budgétaire de la commune ne tient plus qu’à la dotation de l’Agglopole Provence. Initialement, l’impôt collecté par l’Agglopole doit leur servir à financer des dépenses d’investissement (gestion des déchets, Eau, assainissement, développement économique) ou pourrait permettre de réduire la pression fiscale des entreprises. Notre municipalité l’utilise pour combler le déficit !

Des impôts et taxes qui augmentent 3 fois
plus vite que la population, et 4 fois plus vite pour les charges de personnel, sans nouveaux services de qualité…
Un Lançonnais devait s’acquitter en 2004 de 484€ de taxes communales, en 2014, ce sont maintenant 821€ qui allègent son porte-monnaie. Mais son salaire n’a pas doublé !

Il est urgent de stopper   cette spirale négative !


Notre nouvelle approche budgétaire

Notre approche budgétaire sera basée sur de nouvelles règles d’engagements de dépenses, une nouvelle dynamique de la gestion communale. Elle se déclinera en 3 objectifs à atteindre :
Ê les charges du personnel 2015 seront égales à 2014 et les dépenses
totales de 2015 seront inférieures aux recettes de 2014
Ê on dégage de l’excédent : de nouveau, on crée de la richesse.
Ê Equité et redistribution, dès le retour à l’équilibre atteint.

Concrètement cela se traduira par :
Ê un résultat annuel réellement positif sans vendre les actifs possédés
Ê un contrôle à priori de l’utilisation et l’engagement de l’argent public. Renégociation des abonnements énergétiques. Partenariats ou délégations de services plutôt que municipalisation,
Ê de nouvelles sources de financement avec des partenariats publics, privés ou associatifs, des subventions et le recours au mécénat, des délégations de service.
Ê Une gestion plus motivante du personnel, et l’utilisation d’outils modernes, l’ouverture à des partenaires spécialisés compléteront notre panoplie de solutions.

N’en déplaise à l’équipe actuelle, l’augmentation des dépenses n’est pas une fatalité. Contrairement aux autres candidats nous ne posons pas seulement un constat, nous proposons des solutions pour une meilleure gestion, un retour à l’équilibre.
Notre compétence : la capacité à gérer
Dans un contexte économique et social difficile, avec une réduction programmée des dotations de l’état, le douloureux héritage laissé par 19 années d’approximations nous imposera des mesures courageuses pour rétablir l’équilibre des finances.

La commune n’est pas seulement une affaire de famille, c’est surtout et maintenant une entreprise !

La responsabilité sociale de la gestion des effectifs municipaux qui avoisineront début 2014 les 200 collaborateurs, requiert également de nouvelles compétences. Le paternalisme n’est plus de mise, il faut désormais maîtriser les règles du management. La gestion des finances communales s’apparente à la gestion d’une entreprise de services. Compte de résultat et résultat d’exploitation, bilan, auto financement, taux d’endettement, encours de la dette et annuités de remboursements, programme d’investissements… autant de clés qu’il faut maîtriser et qui imposent compétences, expérience et savoir-faire.

De la responsabilité sociale découle la transparence. Quand on sait gérer, on peut expliquer ! Quand on peut expliquer on n’a rien à cacher !

Avec nous, avec Marcel Castellani, les Lançonnais auront toujours les clefs pour comprendre et contrôler le budget de leur commune !

2 commentaires:

  1. il est urgent de mettre un vrai financier à la tête de cette commune

    Pas envie de payer plus d'impôts. Ca suffit!

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    Réponses
    1. Bonjour,
      Une necessitè que je partage tant la situation de la commune est inquietante.
      Au dela de mon experience professionnelle, je suis surtout solidement epaule d'une specialiste en droit et finances publiques.
      Reelle priorite du programme, il s'agira pour nous de financer durablement et sainement nos projets, maitriser les charges et s'engager à baisser les taux de la fiscalite locale.

      Parce que nous savons le faire, ce ne seront pas que des mots mais des actes bien concrets.

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